Il me faut revenir
Dans tes gras caché au cœur de ta foi
Je saurai me retourner et réagir je saurai
Hérisser mes doigts contre les catastrophes
Les incompréhensions et fleurir dans la simplicité
Contre les épines de nos paroles et le ridicule
Que nous fourgonnons de journaux jaunis
Tu lis déjà ma transformation ton front
Est un foyer ton action est un tison qui
S’amplifie dans l’oubli comme tout ce qui fut cachetés
Nos secrets nos lèvres nos brèves réunions nos confiances
Se déplient comme le vieil origami
De mon cœur.
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