Je ne lirai plus
Gracq est mort. Le livre ne s'en remettra pas. Il était le dernier gardien d'une époque : celle où l'écrivain écrivait.
Ils faut tout lire : tout est grandiose. Maintenant, vous verrez, il se fera connaître, ce Gracq, dans les masses. Douce ironie de la mort : maintenant on l'enseignera. Il a bien fait de ne pas vivre parmi nous. Il s'assurait ainsi d'y mourir.
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